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 sometimes there's no reason to justify the meaning; jonathan&&barbara

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La chevalière de Gotham (barbie)


Barbara Gordon
Barbara Gordon

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MessageSujet: sometimes there's no reason to justify the meaning; jonathan&&barbara   sometimes there's no reason to justify the meaning; jonathan&&barbara Icon_minitimeDim 30 Aoû - 22:49














DESCRIPTION DU RP » Depuis quelques temps, des morts suspectent ont lieux dans Gotham. Ayant menée son enquête Batgirl est déterminée à mettre fin à ces meurtres étranges, prête à tout pour stopper le tueur.



















Depuis quelques temps, des morts étranges survenaient à Gotham. Si chacun avait quelque chose à faire, Batgirl s'était désigné d'elle même pour arrêter l'individu qui causait ces crimes. Le problème ; c'est qu'elle ne savait pas qui il était. Il semblait être nouveau à Gotham, et ça n'annonçait rien de bon. Cependant, elle avait menée sa petite enquête, rassemblant des éléments, comparant victimes sur victimes pour tenter de trouver une ligne conductrice, un os à ronger, quelque chose qui pourrait l'aider à savoir qui serait la prochaine victime, et elle avait trouvé quelque chose d'intéressant ; chaque victimes avaient effectivement quelque chose en commun. Les tueurs en séries ne choisissaient par leur victime au hasard, et le lien, elle l'avait trouvé. Tous avait été miraculé. C'était toujours des personnes ayant échappés à la mort, un incendie ayant tué tous le monde, sauf une seule personne, un AVC devant tuer mais finalement prit à temps ; une hémorragie stoppée. Chaque personne avait eu la chance de se sortir des galères les plus atroces, les condamnant à une mort certaine, et pourtant, cet individu, qu'importe qui il soit ; tentait de faire ce que le karma n'avait pas fait. Il se prenait probablement pour un Ange de la Mort, exécutant toute personne ayant survécu miraculeusement à un accident, ayant échappée à la mort. Qui pouvait-être assez sadique pour faire ça ? Barbara n'avait jamais pas trouvée la réponse à cette question, mais ce soir, elle comptait le faire.
Elle avait piratée les données de l'hôpital de Gotham ; ayant ainsi une liste de tous les patients. Elle avait étudié des dossiers pendant des jours, ne tenant qu'avec quelques siestes et de la caféine. Et elle avait établie une liste des potentielles futures victimes. Ce soir, elle comptait donc faire une ronde dans la ville afin de savoir si oui ou non, cet individu comptait frapper. Les premiers appartement qu'elle avait visité semblait hors d'atteinte, hors danger. Il n'y avait eu rien à signaler de spécifique, rien d'étrange ; ainsi ça rassurait celle-ci, même si elle repasserait probablement par le chemin inverse dés que l'aube pointerait le bout de son nez.

Ayant quitté les quartiers du New Gotham ; la jeune femme avait finalement rejoint le Bowery afin de se rendre dans les nouvelles habitations. Enfin, plutôt de surveiller les nouvelles habitations, une petite rondes simpliste pour s'assurer que tout allait bien. C'est alors qu'elle arrivait au premier numéro du quartier sur sa liste ; et tandis qu'elle se laissait glisser sur l'escalier de secours, elle eu comme une mauvaise impression ; comme si son instinct féminin l'alertait que quelque chose de pas net se tramait. Déverrouillant la fenêtre avec l'aide de son matériel, elle ouvrit le plus délicatement celle-ci et elle se hissait dans ce qui ressemblait à une chambre. Cependant, le lit semblait être inondé d'alcool en tout genre. D'après les recherches, cet homme avait survécu à un attentat dans un train, alors que son fils unique avait périt. Il avait déjà perdue sa femme d'une maladie des années au par avant, mais depuis que son fils n'était plus là, c' était une épave et en vue de l'odeur que dégageait le lit plus les bouteilles d'alcool vide au sol ; c'était bien véridique. Elle s'avançait alors doucement ; tournant le plus délicatement possible la poignée de la porte et se hissant dans l'ouverture. Mais alors qu'elle s'apprêtait à pénétrer dans le salon de l'appartement, un bruit se fit entendre, obligeant celle-ci à rester à couvert contre le mur puis un gémissement avant que quelque chose de lourd ne tombe au sol. Et tandis qu'elle jetait juste un coup d'oeil ; elle vit les pieds de l'individu ce qui semblait signifier qu'il était mort. Hésitant un cours instant, c'était le moment de démasquer cet homme. Préférant prendre de derrière plutôt que de front, elle vit la silhouette de l'homme de dos, ainsi, elle roulait au sol jusqu'à se mettre à couvert derrière un fauteuil, ayant désormais une meilleure vision sur le cadavre qui se vidait de son sang. Fronçant les sourcils, la rouquine était bien déterminée à stopper cet individu. Prête à se camoufler de nouveau derrière le canapé cette fois, elle shootait accidentellement dans une bouteille vide, faisant alors tomber celle-ci contre le carrelage dans un bruit tandis que le liquide brun commençait à se déverser sur le sol. Voyant l'assassin se retourner, elle attrapait un fumigène pour le faire sauter au sol, répandant un nuage de fumé. Vision infra-rouge alors activée, la jeune femme sautait derrière le comptoir de la cuisine américaine, fixant alors le grand miroir collé au mur lui permettant ainsi d'avoir une vision sur l'homme. Mais alors que la fumée qu'elle voyait dans la vitre réfléchissant se dissipait, elle ne vit rien. Personne. Prête à sortir de sa cachette, elle sentie soudainement une présence au dessus d'elle, et lorsqu'elle basculait la tête en arrière de manière à vérifier, elle vit un individu en face d'elle avec … une sorte de miroir à la place du visage. « Et bien, je vois que mon effet de surprise n'a pas marcher ! » dit-elle un semblant déçu. Elle roulait alors sur le côté de manière à se redresser, prête à se battre si besoin était. « J'espère que tu t'es bien amusé, mais ton petit jeu de faucheuse est terminé. Ainsi, je te laisse le choix. Soit tu te rends toi même ; et je t’emmène au commissariat ; soit j'emploi les poings et sache que je frappe beaucoup plus fort que j'en ai l'air ! » Et c'était vrai. Beaucoup sous estimait Batgirl, pensant qu'en tant que fille, elle n'était pas un membre si prometteur de la Batfamily, et le fait est qu'avec Dick & Batman, elle était un des premiers membres à l'avoir composé. De plus, quand on observait bien la silhouette de la rousse, on voyait une silhouette athlétique ; et elle possédait une très bonne souplesse, lui donnant de nombreux avantages. Quoi qu'il en soit, elle n'était pas à sous-estimé, beaucoup plus redoutable qu'elle en avait l'air …. même si il lui arrivait de se prendre des raclées monumentales.  




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Mirror


Jonathan Mills
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MessageSujet: Re: sometimes there's no reason to justify the meaning; jonathan&&barbara   sometimes there's no reason to justify the meaning; jonathan&&barbara Icon_minitimeLun 31 Aoû - 22:38

Je regarde mon masque, tout juste terminé. Ma précédente expédition m'avait prouvé qu'il n'était pas assez bien terminé pour endurer des chocs violents, comme des chutes d'assez haut ou encore les coups des brutes épaisses à demies héroïques du secteur. J'avais donc trimé dur dans le garage de la maison. Déjà, j'avais renforcé les défenses de la place. L'avantage d'être un ancien des SpecOps, c'est d'avoir encore quantité de contacts dans l'armée et chez les intermédiaires. J'avais mis la touche finale à mon système « Terre Brûlée », au cas où mes excursions de plus en plus régulières laissaient des traces trop évidentes. J'avais aussi soigneusement camouflé l'ensemble de mes équipements, du pare-balles et des autres protections type anti-émeutes, après avoir tout repeint en noir. Mes armes aussi, car même si je n'employais le plus souvent d'une corde de violon avec un manche à chaque extrêmité pour serrer efficacement sans me blesser, je devais parfois prendre du plus lourd. Mon crève-coeur réglementaire, récupéré avec le reste de mon équipement quand j'avais quitté les bérets verts. J'avais dû récupérer des munitions pour mon M4, que je ne sortirais qu'en cas d'impératif majeur. Poignée modifiée, nouveau système d'approvisionnement, bricolé par un copain armurié, lunette infrarouges x24. Parfait engin de guerre, pourtant trop encombrant. Je préférais mon Browning de 9 mm pour ma protection rapprochée et pour éliminer tout ennemi un peu trop costaud. Ces bastos là explosaient les couverts légers qu'on rencontrait dans une maison, et faisaient des trous gros comme le poing. Sous le flingue, la mini-lampe tactique.


Ce soir pourtant, je n'avais besoin de rien de lourd. Mon masque, que je tenais entre mes mains. Renforcé. Du verre sans teint extrêmement résistant, à l'épreuve des balles. Tout du moins, à longue distance. Que je me prenne une de mes propres bastos à bout portant et je finirais en purée comme tout le monde. Trois lames de verre, que j'avais mis des heures à découper à la scie circulaire. Plusieurs fois, j'avais encaissé des micro-éclats dans mes lunettes de protection, maintenant rayées. Mais les trois faces, une fois thermocollées sur le support en acier, protégeraient mes joues et mon visage. Le plus compliqué fut de procéder eux deux trous pour les yeux, cela me prit une nuit de plus de travail que prévu. Mais le résultat était à la hauteur. Je voyais aussi bien qu'avec un masque, donc je n'étais pas trop contraint. J'étais protégé. Et surtout, je renverrais le bon message à mes victimes. Un peu d'introspection avant le grand saut. Je m'équipais en vitesse après un repas frugal. Pas de whisky, pas ce soir. Ce soir je suis de sortie. J'emporte dans un sac de sport tout ce dont j'ai besoin. Il me faut deux heures pour être en position. Je m'équipe en vitesse. Treillis noir, veste noire, béret noir. Protections aux genoux et aux coudes, gants renforcés pour cogner ou pour escalader. Pare-balles. Je prends un flingue, ma corde à étrangler et mon crève-coeur. Cela suffira.


J'entre aisément. Sans un bruit. Concentré. Comme en Irak, comme quand on infiltrait les rangs des milices. En moins dangereux. Mais je reste concentré. N'importe quel adversaire peut s'avérer mortel si on ne prend pas garde. L'homme est ivre ; je le sens d'ici. J'ai toujours eu d'importantes facilités à décrypter mon environnement immédiat, très précieux dans mon passé militaire. Il marche. Je me cache derrière le mur. Il est grand, massif. Il pue la honte et le désespoir. Le tuer est un acte charitable. Je ne le fais pas pour moi, mais pour lui. La corde est dangereuse ; il est costaud. Ancien sportif ou que sais-je. Ne pas prendre de risques ; un individu alcoolisé est plus imprévisible. Je me jette d'un bon derrière lui quand il repasse. Ma main couvre sa bouche tandis que je plante ma lame dans son cou. Egorger en faisant courir le tranchant en travers du cou n'est pas d'une efficacité optimale. Je produis la mise à mort parfaite ; lame plantée, tranchant vers l'avant, et je pousse le crève-coeur qui arrache la trachée sectionnée de l'individu. Là, il ne pourra plus être soigné. Quoiqu'il arrive.


Je n'ai même pas eu le temps de lui murmurer ce qui allait se passer ; je suis allé trop vite. Son sang forme une marre autour de sa tête. J'essuie ma lame contre son polo. Puis, je me fige. Un bruit. Le « pshhhhhh » d'un fumigène. La fumée emplit un instant la pièce, puis s'attarde. Je prends de toutes petites inspirations, le visage le plus bas possible alors que je m'accroupis par réflexe. L'instinct reprend le dessus et en bon ancien des forces spéciales, je disparais dans le noir de l'appartement aussitôt. Je sens sa présence. Une femme, probablement. Elle n'a quasiment fait aucun bruit, corps léger et agile. Je n'entends pas sa respiration, mais je me doute de l'endroit où elle se trouve. Je m'avance jusqu'au bar qui sépare la cuisine du reste de l'appartement. Lorsque je passe la tête de l'autre côté, poignard de combat le long de l'avant-bras, je vois sa silhouette et mon cœur bat à tout rompre. J'ai été imprudent, et ai attiré d'une manière ou d'une autre cette cape jusqu'ici. Costume sombre. Masque de chauve-souris. Ce n'est pas le Batman, c'est bien une femme. Rousse, je crois le deviner aux reflets de ses cheveux malgré le manque de visibilité. Elle roule sur le côté et je reste là, campé sur mes appuis mais n'adoptant aucune rigidité dans ma posture, prêt à me battre. Je la toise se relever. Batgirl, si j'en crois les histoires. Celle-là, je ne l'ai pas rencontrée dans ma période DIA. Je la toise sévèrement au travers du masque. Je ne peux pas la laisser me prendre. Pas vivant en tous cas. Je ne peux pas la laisser mettre fin à ma mission non plus. Je contourne le bar. Je range mon couteau. Je ne tue pas n'importe qui.


| Je ne me rendrais pas. Je ne sais pas ce qui t'a attirée ici, mais tu n'as rien à y faire. Il est trop tard. Il est mort. |


J'écarte doucement mes mains, paumes ouvertes. En signe d'apaisement.


| Je ne te veux pas de mal. Je fais ce que j'ai à faire, c'est tout. Tu ne veux pas qu'on en arrive aux mains, crois-moi. |


J'étais un tueur, après tout. J'avais tué pendant des années. C'était ce qui m'avait tenu autant éloigné des miens, même en revenant près d'eux... Je n'avais jamais su vraiment tout raccrocher. Je m'en étais rendu compte trop tard.


| On peut s'en tirer tous les deux en un seul morceau. Si tu t'écartes et me laisse partir. Sinon, il y aura du sang qui coulera inutilement, cette nuit. |
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