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 Versons le venin d'un futur endeuillé

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Laura de Mille


Laura de Mille
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Âge : 32 ans, mais je ne les fait pas :)
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Versons le venin d'un futur endeuillé  ZnrDNnG
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MessageSujet: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeDim 27 Sep - 20:16














DESCRIPTION DU RP »
Laura de Mille a aimablement été invité à l’Iceberg Lounge par Oswald Cobblepot. Sûrement suite à son incroyable représentation au théâtre de la ville.



Je finis de relever mes cheveux et passe un léger coup de laque pour faire tenir le chignon lâche. Je me remets du rouge à lèvres avant de m’observer dans le miroir. La robe est magnifique. En satin noir, m’arrivant aux genoux, recouverte de broderie en dentelle noire, avec un splendide dos nu. Je tourne et elle voltige autour de moi. Mais aussi belle qu’elle soit, elle ne l’est pas autant que ces merveilles. J’enfile les sandales à hauts talons Jimmy Choo, d’un rouge aussi vif que mon rouge à lèvres et mon vernis, et je gagne 10 centimètres.
Je me regarde à nouveau, un sourire aux lèvres. C’est la première fois que je me rachète des vêtements depuis… Je perds mon sourire. Depuis l’accident. J’ai l’impression que c’est mal. Que je ne devrais pas. Ni pouvoir continuer à sourire. Ni dépenser de l’argent pour sortir. Ni aimer cela. Ni continuer à vivre aussi futilement…. Ce n’est pas tout à fait le bon mot, mais pourtant… Pas à vivre tout court, même s’il m’est arrivé plus d’une fois d’essayer de trouver le courage de… mais… Enfin, je ne devrais pas être si heureuse d’avoir dépensé une fortune pour des chaussures. Aussi magnifiques soient-elles. Et elles le sont.
Mais après tout… Il faut que je continue non ? J’essaie… Et il adorait me voir porter de telles chaussures. Les jambes les plus incroyables de tout Gotham... J’esquisse un triste sourire et respire profondément pour empêcher les larmes de couler.

Je secoue la tête et inspire à nouveau, avant de relever les yeux, me dévisageant dans le miroir. Je sers le poing comme pour cacher ma main qui tremble. Ce n’est qu’une invitation. Ça n’engage à rien. Et ce n’est pas….
Arrête de réfléchir, tu as déjà donné ta réponse et tu as accepté, même si tu ne sais toujours pas pourquoi. Je récupère ma veste courte et mon sac à main avant de sortir de l’appartement. Le taxi est là, je m’y engouffre et lui donne l’adresse. Cela fait longtemps aussi que je n’y suis plus allée. J’adorais cet endroit. Mais c’était avec Simon. Je sors mon poudrier et vérifie mon maquillage, somme toute léger mis à part le rouge à lèvre. Respire. Tout va bien.

Le taxi se gare et je sers mon sac tant je suis nerveuse. Je ne sais pas ce qu’il veut. Peut-être aurais-je dû demander avant oui. J’ai l’impression désastreuse de me jeter dans la gueule du loup sans même y prendre garde. Je sais. J’ai entendu les rumeurs. J’aurais dû dire non, je ne comprends toujours pas, j’aurais pu trouver un prétexte… sans doute… Aurait-il accepté un refus ? Je n’en sais rien, mais j’aurai dû…

Mes pas m’ont déjà conduit à l’intérieur sans que je m’en rende compte. Je cligne des yeux et regarde autour de moi. Je ne le vois pas, mais je ne suis même pas certaine d’arriver à le trouver s’il est dans un coin.
Je redresse les épaules, alors qu’un serveur ou un maître d’hôtel que sais-je se dirige vers moi.

« Madame. Puis-je vous aider ? »

Je souris doucement. « Je suis attendue. J’ai rendez-vous avec M. Cobblepot. »

Il s’incline et me fait signe de le suivre, me menant à une table à l’écart.
« M. Cobblepot vous prie de l’excuser, il va arriver. Puis-je vous offrir quelque chose à boire ? »
« Un Manhattan s’il vous plait. »

Je m’assoies, posant mon sac et ma veste à mes côtés. Tout va bien. Je m’en fais un mantra.
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Oswald Cobblepot


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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeJeu 1 Oct - 3:29













Oswald relisait le dossier sur cette Laura, Laura de Mille. Plusieurs de ses indics lui avaient donné des faits très intéressants sur cette femme. Un jeu d’acteur qui sort de l’ordinaire, jusque-là tout va bien, mais des faits inexpliqués, elle rentre dans une loge et une autre personne en ressort, ou elle est suivie et s’enfuie alors qu’il n’y avait pas la moindre issue. Il en était déjà à huit témoignages de ce genre. Tout ce qui sonnait croche à Gotham finissait par aller à ses oreilles. Et ainsi, le chef de la mafia ne pourrait s’empêcher d’y fourrer son nez crochu. Il avait de l’instinct, il savait que cette femme cachait quelque chose, des capacités particulières, il ne savait pas encore quoi exactement, il avait besoin de confirmation. Car si ses hypothèses au sujet de cette femme s’avéraient justifiées, elle aurait un rôle très important à jouer dans l’avenir.

Oui, il prenait déjà pour acquis, que s’il trouvait en elle la fille qu’il voulait elle travaillerait pour lui. Pour Oswald, tout lui était acquis à Gotham, tout lui appartenait, sans exception. D’une manière ou d’une autre il finissait toujours par avoir ce qu’il voulait, que ce soit par sa fortune colossale, son esprit fourbe ou encore un de ses nombreux employés. Tout le monde a un prix à Gotham, à part tous ces héros en collant bien sûr, mais le Pingouin finirait par les faire tomber, en tout cas il en avait la certitude, ce n’était qu’une question de temps, tout comme le fait que Laura finisse par se joindre à lui. Mais avant cela, elle devra passer son petit test, soit elle réussira haut-la-main, soit elle mourra. À qui manquera-t-elle? Qui l’accusera? Voilà la dure réalité de cette ville corrompue!

Alors qu’elle attendait, bien assise à sa table, Le Pingouin la regardait par les caméras de son club, une dizaine d’écrans étaient devant lui, lui présentant sous toutes les coutures le test auquel la pauvre Laura allait devoir se confronter sans même le savoir. Le parrain referma le dossier de sa cible et esquissa un sourire très malsain. Il prit le micro qui se trouvait devant lui et ordona alors à ses hommes :

- C’est le moment! Enclenchez la phase A bande de cloportes!

Le Pingouin regarda sur l’autre écran, trois hommes dans la pièce à côté de la pauvre femme mettaient des gilets par balle et s’armaient de fusils automatiques. Il n’y aurait pas d’issu pour elle, juste survivre à ces trois minables, mais trois minables bien armés face à une femme en robe de soirée. Si d’une manière ou d’une autre elle possédait des capacités spéciales, elle ne pourrait pas lui échapper! Les hommes ouvrirent la porte en trombe, le test venait de commencer …




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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeJeu 1 Oct - 16:48

J’étais nerveuse et je n’aimais pas cela. Pas nerveuse comme avant une représentation. Non, nerveuse dans le genre troublée et perturbée. Et je n’aimais pas. Mon malaise augmente alors que je prends place et observe autour de moi. Pourquoi voulait-il me voir ? Et puis surtout…
Et je comprends pourquoi je suis si nerveuse. Cet endroit était toujours rempli. Même s’il était encore tôt, il aurait dû y avoir du monde. Or, j’étais seule. L’angoisse qui me serrait le cœur remonte et se loge dans ma gorge. Seigneur, je n’aurais jamais dû venir. Je dois partir.

La porte derrière moi tremble et s’ouvre avec fracas, je tourne la tête pour voir trois mecs débarquer avec… Sérieusement ? Des fusils ? Je pensais pourtant que cet endroit était sûr, surtout depuis que Monsieur Cobblepot justement y séjourner régulièrement. Merde. Je tombe de ma chaise.
Tu ne comprends pas ? Je me réfugie derrière une banquette, allongée au sol, affolée, le bruit des tirs masquant mes cris et mes larmes. Par tous les Saints !

C’est n’importe quoi. Sans déc ! Pourquoi il a fallu que ce soit elle qui atterrisse ici ?
Je regarde vers le haut et plisse les yeux en apercevant une caméra de surveillance. Ouais, si j’étais à sa place, je me marrerais aussi derrière mon poste vidéo. Quoique non, si j’étais lui, je n’engagerais pas trois débiles pour m’amuser. Quoiqu’il ne s’amuse sans doute pas… S’il avait voulu me tuer, il aurait pu le faire de manière plus discrète et efficace. Même si je ne vois pas du tout pourquoi il voudrait… Non. Ce n’est pas pour me tuer… Il me teste. Cet enflure me teste… J’avais pas rêvé quand j’avais cru semer un ou deux mecs. Quelle saloperie ! Mais pourquoi ?
Pourtant je sens un lent sourire étendre mes lèvres, alors que j’essuie d’une main distraite les larmes de mes joues, le regard toujours braqué vers la caméra. « Ok, j'accepte de jouer. Je gagne quoi ? »

Ils ont arrêtés de tirer, bande de débiles, et j’entends des pas. S’ils avaient voulu, cette banquette n’aurait pas résistée encore très longtemps. Je fais claquer ma langue et m’accroupis. J’en vois un arriver et relever son fusil vers moi. Merde. J’attrape ses épaules en étendant mes bras sous ses yeux ébahis, et l’attire vers moi d’un mouvement vif, le faisant chuter à terre derrière la banquette. J’attrape son arme d’un même mouvement et souris. Il se relève un peu et lève les mains les yeux écarquillés. Je penche la tête sur le côté. Et tire. Ce qui est bien avec ces trucs, c’est que tu n’as pas vraiment besoin de savoir tirer… surtout d’aussi près. Et merde, ma robe. Beurk c’est encore plus dégueu que le sang.
Et les autres qui se remettent à tirer et à s’approcher aussi. Forcément.

Je n’ai pas envie, mais alors pas du tout. Je sais d’avance que je ne vais pas forcément avoir le choix, pourtant je n’ai carrément pas envie de lui montrer… Tu crois qu’il sait ? Tu crois que ça change quelque chose ?
Je lève l’arme et vise la caméra. Ok, heureusement qu’il y a pas mal de munitions. Faudrait que j’apprenne à tirer vraiment un jour tiens. Mais bon, elle explose. Ouais, y en a d’autres sans aucun doute, mais je m’en tape. La porte là-bas… Quelques mètres… Je grimace, une bonne dizaine ouais. Allez, tu peux le faire. J’attrape une chaise et la balance dans leur direction d’une main, je fais avec ce que j’ai ok ? Et tends à nouveau l’autre bras pour ouvrir la porte, avant de me propulser dedans en m’accrochant au chambranle. J’atterris dans un magnifique et pas du tout seyant roulé-boulé.
Je fais claquer la porte et me laisse tomber contre. Je regarde ma jambe, et grimace. Je saigne. Ça m’a effleurer mais je saigne bordel ! Je me redresse et regarde enfin autour de moi. Et merde…
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Oswald Cobblepot


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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeVen 2 Oct - 15:06













Le Pingouin n’était pas déçu du spectacle. Alors que la première réaction de sa cible fut de fébrilement se cacher derrière une banquette, elle changea du tout au tout par la suite. Puis d’un coup elle fixa la caméra, comme pour le regarder lui, un regard plein de fougue et de défi, et accepta de jouer selon ses dires. Oswald ne put s’empêcher de rire de manière malfaisante et incontrôlée devant un tel spectacle. Il adorait ce genre de défi malsain, surtout quand il avait le beau rôle. Il prenait vraiment du plaisir à tester sa cible.

Elle fit preuve de prouesses extrêmes par la suite allongeant littéralement ses bras pour attraper un des hommes. Il avait beau se douter qu’elle possédait des capacités particulières mais il ne s’attendait pas à un tel spectacle. Un pouvoir défensif, versatile, qui pourrait grandement servir ses projets. Les hommes armés étaient de pauvres minables, ils n’avaient pas la moindre chance. Elle était sans pitié avec eux, elle les tua sans le moindre état d’âme. Les faisant disparaitre avec la caméra numéro six. Son changement de personnalité n’avait pas échappé au pingouin. Un dédoublement? De la Schizophrénie? Une fille qui cache bien son jeu? C’était très difficile à dire sans lui avoir parlé. Mais pour l’instant il n’était pas déçu.

Elle entra dans une nouvelle place. Un grand couloir, qui ne laissait rien d’apparent, à part de beaux tableaux et de beaux fauteuils sur les côtés, tout au fond se trouvait une porte, apparemment sécurisée. Le Pingouin avait tout prévu, ce couloir avait des pièges cachés en tout genre, Raser, lames, poisons, etc. Et cette porte au fond ne s’ouvrirait qu’à condition d’avoir son emprunte et son iris. Sil elle passait la phase B alors elle passait le test, aucun doute à avoir. Il prit le micro devant lui, pour se faire entendre par Laura :

- Miss De Mille, bienvenue au Iceberg Lounge. Comme vous avez pu le voir je vous ai offert un accueil personnalisé. Ce couloir est truffé de pièges, mais je me trouve à l’autre bout, juste derrière cette porte, traversez-le, et je vous direz pourquoi je vous ai réservé un tel accueil! Bone chance! Ha! Ha! Ha! Ha!




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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeVen 2 Oct - 20:51

Je reste assise contre la porte, reprenant mon souffle, observant ce putain de couloir trop long et trop vide. Trop calme et trop normal après toute cette merde. Je me relève, toujours adossée à la porte, et passe ma langue sur mes lèvres. Je lève la tête et détecte une caméra, encore. Je souris, narquoise.

« Accueil personnalisé… Comme c’est A-DO-RA-BLE. Trop d’attentions pour ma personne. Vraiment. Il ne fallait pas vous donner tant de peines Monsieur Cobblepot. » Mon sourire s’agrandit. « Je me ferais un plaisir de vous remercier personnellement aussi soyez-en sûr. »

Et après, on ose dire de moi que je suis complétement cinglée. Je m’empare d’une chaise à côté de moi et la balance plus loin. Je sursaute presque malgré moi quand la partie supérieure est tranchée net par un espèce de rayon. Super des lasers. Si j’étais persuadée que ce soit le seul, je tenterais, or, j’en doute très fortement. La chaise tombe, cogne et rebondit, déclenchant un nouveau truc. Je me fige. De la fumée. Enfin, pas vraiment. L’air est juste un peu flou à ce niveau-là. Ca ne fera pas grand mal à la chaise, mais à moi par contre… Putain. Mais il est grave malade ce mec.

Non mais sérieusement, il s’attend à ce que je sois Wonder Woman ou quoi ? Genre si j’étais elle, je me ferais chier à être ici… Mes jambes s’étirent et je soulève lentement et précautionneusement une des dalles du plafond. Vu qu’il n’y a semble-t-il pas de réaction, je la retire complètement. Jamais je n’aurais ces trucs-là chez moi. Ni dans mes bureaux si jamais je passais par là. Déjà c’est laid comme pas deux. Deuzio, c’est des nids à poussières, à araignées et autres joyeusetés. Et puis surtout, ça donne accès partout… Je m’étire encore un peu et passe la tête, poussant un soupir de soulagement lorsqu’aucune dague ne se plante dans mon œil. Je regarde autour de moi. Et je vous promets qu’il a intérêt de me rembourser la robe et les chaussures, et sans discuter, parce que sinon, ça va vraiment très mal se passer. Oui, chef de la Pègre ou pas, j’en ai rien à foutre.
Par contre, on va éviter de trop s’appuyer là-dessus… Je risque de me retrouver quelques mètres plus bas, aux côtés de la chaise… et j’en ai pas trop envie. Je monte, me servant de mes bras, puis de mes jambes, pour avancer contre les parois, aussi silencieusement que possible. Je soulève discrètement une dalle et reprends ma route. Ouais, là ça devrait être bon.  

Je pousse les dalles jusqu’à ce que l’une tombe, je prends juste une seconde pour être sûre de pas me faire crâmer ou un truc du genre et je saute.
Je regarde autour de moi. Et je me mets à rire. Je me tourne vers lui et le dévisage. Il est seul. Il est seul dans la pièce de surveillance, seul assis devant les écrans…
Je tente d’arrêter et de me reprendre, mais ce n’est pas fameux. Je fais un geste des mains englobant la salle.

« Vous êtes sérieux ? Votre arrogance confine à l’inconscience vous savez ? »

Je ris à nouveau. Ma main s’enroule autour de son cou et je m’approche de lui. « Oh, je ne doute pas qu’il y a tout un tas d’homme près à se ruer ici. Mais ce sera trop tard pour vous Monsieur Cobblepot. »

Je le force à se mettre debout et l’examine. Et pour un peu personne ne s’en rendrait compte. Il me suffirait de prendre son apparence. Je lui bloque les bras le long du corps de mon autre bras.

« Il me serait si facile de vous tuer. Après tout ça, ce serait plus que mérité. »

Je le repousse contre le mur, mon regard se faisant plus froid et mes doigts enserrant un peu plus son cou. Il aura des marques dans le meilleur des cas.

« Cette robe m’a coûté 300 dollars. Et ces chaussures, vous voyez ces beautés ? Ce sont des Jimmy Choo, elles m’ont coûté près de 700 dollars. Ça n’a peut-être l’air de rien pour vous, mais je vous assure que cela fait une jolie somme pour des chaussures.
Et ce sont les seules raisons qui me retiennent de vous tuer maintenant. Parce que vous allez bien évidemment me les rembourser n’est-ce pas ? Et j’ai vu de d’incroyables cuissardes Louboutin qui m’irait, j’en suis sûre, à la perfection.
Etes-vous de nature généreuse, Monsieur Cobblepot ? »


Je m’approche de lui, frôlant son oreille de mes lèvres. C’est fou le nombre d’hommes que j’approche de la sorte dernièrement.

« Mais tentez encore une seule fois de me tuer, Monsieur Cobblepot, et je vous promets que vous me supplierez de faire cesser la douleur. » Je me recule un peu et le fixe, aussi glaciale et vide que le vent d’hiver. « Me comprenez-vous, Monsieur Cobblepot ? »

Je le lâche et recule, avant de lui sourire.

« Ou ayez au moins la politesse de tenter de le faire de vos propres mains. J'apprécierais davantage encore. »

Je tourne la chaise et m'y installe, croisant mes jambes.

« Dites-moi maintenant, pourquoi m'avoir fait venir Monsieur Cobblepot ?»
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Oswald Cobblepot


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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeDim 4 Oct - 20:10













Elle usa de bien des astuces pour se débarrasser de tous ces pièges. Elle commença par prendre une chaise et la lancer en avant pour voir à quoi elle avait à faire. Elle put le constater rapidement avec les détecteurs de mouvements que le Pingouin avait mis en place. Elle réfléchit à la façon la plus sure de passer toutes ces étapes. Elle regarde vers le plafond, et étire ses jambes. Intéressant, elle voulait trouver un autre passage, le genre de passage que seules ses capacités lui permettraient d’atteindre. Elle entra sa tête, et constata qu’elle pouvait passer par là. Oswald réfléchit, il comprit vite qu’elle se rendrait à lui par cet accès, et elle ne serait surement pas enclin à discuter après tout ça. Il regarda sa manche droite, son Derringer était là, prêt à sortir et à tirer. Parfait.

Elle arriva au-dessus de lui, descendant en trombe et regardant autour d’elle. Visiblement elle s’attendait à tout sauf à le voir seul. Mais Oswald savait qu’il fallait prendre des risques et être audacieux pour percer en affaire. Elle étire sa main pour l’intimider, il reste droit, il n’a pas peur, si elle avait voulu le tuer elle ne serait pas passé par quatre chemin, elle cherche juste à se venger, à penser qu’elle peut avoir le contrôle.  Pas besoin d’utiliser le Derringer, plus besoin à présent. Il avait la situation bien en main, tout se déroulait selon ses plans. Elle le lève le bloque, et met sa main autour de son cou, il ne réagit pas, il soutient son regard sans sourciller. Elle le colle au mur, elle souhaite être payée. Si tout ce qu’elle voulait c’était mille dollars leur entretien allait être vite terminé. Elle le menace une dernière fois, elle aurait voulu qu’il le fasse lui-même, elle se recule et s’installe dans son fauteuil, maintenant c’est à lui de sortir le grand jeu. Il se met à pointer le doigt et à rire, il rit, il rit. Il pointe son bras vers elle et sort le Derringer, le geste est rapide, et l’arme aussi. Il la pointe cinq secondes, renverse l’intimidation et le sentiment de puissance, elle est assise, elle ne bougerait pas assez vite, mais lui non plus n’a pas envie de la tuer. Il imite le bruit du pistolet et se remet à rire en rangeant son arme dans sa manche.

- Je ne suis ni arrogant, ni inconscient, et si j’avais voulu vous tuer de mes propres mains il aurait été plutôt facile de le faire à la seconde où vous êtes sortie de mon plafond.

Il s’arrête, c’est une personne détestable ce Pingouin. Et il travaille beaucoup sur son image. Il marche un peu et regarde la marchandise. C’est une très belle femme au-delà de ses capacités et de sa fougue, elle a un incroyable potentiel, encore lattant et non utilisé, il a tellement de projets pour elle. Il ajoute :

- Une robe et des chaussures? Très chère, si vous pensez que c’est tout ce que j’ai à offrir, alors c’est que vous connaissez très mal ma générosité! Il prend un temps de silence avant de continuer. Mais toute générosité aussi grande soit elle se mérite Miss De Mille.

Il lui laisse la parole, pour voir son état d’esprit.






Dernière édition par Oswald Cobblepot le Sam 10 Oct - 23:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeLun 5 Oct - 19:02

Je sais bien que je ne suis pas en face de n’importe qui, mais quand même. Ou raison de plus. Il ne sait rien de moi, et il est seul. Après avoir tenté de me tuer de tant de façons différentes… Qu’il m’amuse à se croire si invincible. J’ai du mal à cesser de rire, mais chef de la pègre ou pas, je n’apprécie pas vraiment qu’on se joue ainsi de moi. Ou avec moi.
Si je n’étais pas si patiente ou si obligeante, j’aurais pu le tuer sans difficulté à peine descendue. Mais même si je suis un tant soit peu énervée, ou beaucoup certes, à cause de toute cette mise en scène, je dois avouer que je suis également curieuse et amusée par tant de tests et d’expériences juste pour moi. Mais ça, je ne le dirais pas. C’est fou ce que les gens s’encombrent de ronds de jambe pour tout et n’importe quoi. Tout ça simplement pour me mettre à l’épreuve ? Devrais-je m’en vexer ou en être flattée ? Le bon côté, c’est que je garde encore mon plus bel avantage pour moi. Bien.

Et Pingouin ou pas, il risque beaucoup pour pas grand-chose. Mais bon, si j’avais voulu réellement le tuer, je l’aurais fait sans même le menacer. Et il doit le savoir. Il n’empêche que son sang-froid est assez impressionnant. Il ne cille pas, ni ne bouge, alors que ma main l’enserre. Soit.
Je prends place dans son fauteuil, et l’observe alors qu’il se met à rire à son tour. Je l’amuse. Là encore, je ne sais si je dois en prendre ombrage ou en être flattée. Je lui souris. Et penche la tête légèrement sur le côté, mon sourire toujours aux lèvres, alors qu’il me sort un ridicule pistolet de sa manche. Oui, bon, ça ferait aussi mal à bout portant j’en conviens. Mais étant donné que je sais tout autant que lui qu’il ne tirera pas, pas même après mes menaces, je ne vais pas m’en faire pour autant. Je hausse un sourcil et mon sourire s’accentue.

« Vous êtes arrogant. Horriblement. Mais prenez-le comme un compliment de ma part Monsieur Cobblepot.» Je regarde le plafond, puis sa manche. « Et non, je ne pense pas. Vous auriez pu le faire avant, dans la salle. » Quand c’était Laura. Mes lèvres s’étirent en une moue boudeuse. « Vous me sous-estimez. C’est offensant. »

Je le laisse approcher, me détailler. Je fais légèrement glisser mes jambes, faisant tout aussi légèrement remonter le bas de ma robe, m’appuyant un peu plus contre le dossier. Ce serait dommage de ne pas profiter de ce que je possède. La plupart des gens se laisse tellement facilement berner par les apparences. Une femme fragile et délicate donne envie de la protéger, et puis, elle paraît tellement faible. Et être désirable et attirante est si facile. Oh oui, il ne se laissera pas abuser si aisément. Pourtant… Je suis sûre de pouvoir jouer dessus malgré lui.
Je ris à nouveau.

« Non, je ne doute pas que vous ayez bien davantage à offrir. Mais c’est le minimum pour ce soir, quoiqu’il se passe après. » Je tends la jambe vers lui, frôlant son costume du bout de mon magnifique escarpin rouge. « Vous avez vu ? Ils sont abimés. Alors qu’ils étaient neufs. Et cela par votre faute. »

Je ramène lentement ma jambe vers moi, les croisant à nouveau sensuellement, et le dévisage un instant. Je me passe la langue sur les lèvres et hoche la tête.

« Soit. Je comprends fort bien. Rien n’est gratuit en ce monde, c’est d’une tristesse si vous voulez mon avis…
Et afin que vous me montriez l’étendue de votre générosité, que désirez-vous de ma part Monsieur Cobblepot ? Que pensez-vous que je puisse vous offrir ? »


Je lui souris, les sourcils levés. Que croit-il pouvoir faire avec uniquement mon élasticité ? Non, je garde le reste pour plus tard. Voyons déjà ce qu’il m’offre et ce qu’il demande.
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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeSam 10 Oct - 23:24













Une attitude absolument remarquable, elle était aussi insensible à l’intimidation qu’il ne l’était lui-même. Pas de doute à avoir là-dessus! Elle n’avait pas sourcillé une seconde, pire elle continuait de le défier par les mots. Elle avait raison sur un point, il l’avait sous-estimée. Mais le fait qu’elle montre son jeu permettrait à Oswald de ne pas commettre la même erreur. Toute cette conversion permettait au Pingouin d’analyser sa future employée, assez pour correctement la manipuler, ou s’en débarrasser si besoin est. Elle essaya également d’user de ses charmes, il faut dire que c’était là une très belle femme sans aucun doute. Mais le physique désavantageux d’Oswald lui avait appris à se méfier des femmes qui ne le séduiraient que pour obtenir quelque chose et non pour lui-même. Il la laissa faire tendant le regard vers ce qu’elle avait à lui montrer, il se mit à sourire et la regarda à nouveau, impassible, il voulait lui faire comprendre que malgré sa beauté, elle ne pourrait pas exploiter ce terrain-là. Il la savait bien trop dangereuse de toute façon pour la laisser entrer sans son espace vital.

Il était certain que cette femme n’avait pas encore dévoilé la totalité de son jeu. L’élasticité était une capacité très intéressante mais qui ne collait pas avec ce dont il avait besoin pour ses plans machiavéliques. Il marcha tranquillement en arrière de Laura et pausa ses mains sur ses épaules. Il les massa un peu. Ce petit jeu social était encore une fois une façon de jouer les dominants et les dominés. En massant les épaules de sa partenaire il montrer un intérêt à ses charmes mais était dans la position de celui qui pouvait la tuer. Oswald aimait jouer risqué, il avait un style offensif pour plus d’efficacité. Il se mit alors à lui dire avec tout ce que son code de gentleman lui offrait :

- Vous avez raison, tout porte à croire que je vous ai grandement sous-estimée, si tel est le cas alors tout ce petit test n’était qu’une simple formalité pour vous, alors vous ne devriez pas vous fâcher pour si peu. Il se mit à ricaner. Mais soit, je vous offrirais le double de ce que vous portez ce soir, qu’en dites-vous?

Il lâcha les épaules de la dame. Le pire c’est qu’il faisait d’excellents massages. Il se remit face à elle, prenant un air faussement agacé, assez pour qu’elle s’en aperçoive en tout cas. Et après un non de la tête il ajouta :

- L’ennui voyez-vous, c’est que vos capacités bien que surprenantes ne collent pas vraiment avec l’idée que je me faisais de vous et l’utilité que vous pourriez m’apporter. Enfin, je veux dire que si en effet je vous ai sous-estimée, et si vous voulez un salaire défiant toute compétition, vous devriez vous vendre, dans tout ce que vous avez à offrir. Il se pencha vers elle et chuchota, parce que autant être clair, il n’y a rien à Gotham que le Pingouin ne puisse pas vous offrir en retour …




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Laura de Mille


Laura de Mille
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MessageSujet: Re: Versons le venin d'un futur endeuillé    Versons le venin d'un futur endeuillé  Icon_minitimeJeu 15 Oct - 21:59

Je joue. Tout comme lui. Et s’il ne semble pas impressionné, je ne le suis pas non plus. Certes, il est armé, mais… et alors ? Soyons lucide, en tête à tête, je suis bien plus dangereuse que lui. Et même s’il semble impressionné, peut-être, par mes capacités, il ne se rend pas compte de ce que cela peut m’apporter ou de ce que je suis capable de réaliser grâce à cela. Croit-il que le fait que je lui dise lui sera vraiment utile ? Qu’importe, je n’aime pas être mésestimée.  Et je ne parle pas de mon apparence et de ma capacité à en jouer également.
Je tente toutefois de le séduire, un peu, juste quelques légers mouvements bien innocents, jouant d’une nouvelle corde, car après tout, je n’ai rien à perdre, et s’il semble enclin à contempler, il ne semble pour autant pas convaincu. Oh, après tout, il aurait été fort dommage que cela soit si simple et si évident. Le regard qu’il me retourne est bien froid.  Je sais que je ne le laisse pas indifférent. Alors quoi ? Est-ce uniquement de la méfiance ? Peut-être. Sans doute.
Je continue un peu mon gentil manège, un sourire aux lèvres. Tournant légèrement la tête sur le côté, je le regarde se déplacer, et tâche de me détendre en sentant ses mains sur moi.
Je ferme les yeux, la tête légèrement penchée sur le côté, un léger sourire aux lèvres.

« Je n’aime pas ruiner des choses auxquelles je tiens uniquement parce qu’un mégalomaniaque a décidé de se divertir pour la soirée. » Je penche un peu la tête en arrière pour le regarder. « Ce sera parfait. Vous êtes adorable, un vrai gentleman. Je mettrais la note des magasins à votre nom dans ce cas. »

Je fais la moue quand il arrête. C’était pourtant agréable. Un massage offert par le Pingouin en personne. Je souris. Et je hausse les sourcils, sceptique, quand je le vois prendre un air dépité et embêté. Petit malin. Je le laisse parler et se rapprocher de moi. Je soupire. Ce n’est même pas amusant. Soit. Puisqu’il le faut.
Je le repousse gentiment du bout des doigts, avant de me lever, et de le faire assoir à la place que je viens de quitter. Sans lui laisser le temps de refuser et de me repousser, sans plus de cérémonies, je m’installe sur ses genoux, une main venant jouer dans son cou, l’autre triturant sa chemise, faisant à nouveau la moue.

« L’ennui voyez-vous, c’est que je n’aime pas que l’on me force la main. J’aime décider. J’aime choisir. Et je n’aime pas être considérée comme un objet. Alors mettons les choses au clair, Monsieur Cobblepot. Quand bien même je travaillerais pour vous, pour un salaire défiant toute concurrence, je ne vous appartiens pas.
Mais je vous aime bien, vous me faites rire. Alors soit. »


Je m’approche de lui, ma main remontant dans ses cheveux, et souris, murmurant avec une lenteur délibérée. « Maintenant dites-moi, Monsieur Cobblepot. Préférez-vous les brunes ? Ou les rousses peut-être ? Ou comme beaucoup d’hommes, préférez-vous des formes plus généreuses ? Dites-moi. » Et à chaque parole, je joins le geste. Enfin, le geste. La transformation. Le visage, les cheveux, la poitrine
« Est-ce assez vendeur à votre goût ? Peut-être est-ce moi finalement qui aie davantage à vous offrir que le contraire… ».
Et mes lèvres frôlent les siennes dans un sourire, les effleurant à chaque murmure.
« Que m’offririez-vous pour cela Monsieur Cobblepot ? »
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