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 Quand la foudre frappe [Mary]

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MessageSujet: Quand la foudre frappe [Mary]   Quand la foudre frappe [Mary] Icon_minitimeVen 7 Aoû - 15:40














Clark, malgré les avis divergeant concernant Superman, est bien décidé à continuer ce dont pourquoi il a été envoyé sur Terre : représenter l'espoir à travers des actions héroïques. Mais rien n'est facile pour lui. Et quand ce n'est pas la population qui s'en prend à lui, c'est une nouvelle venue dans le monde de la justice... »







     

      M. Willow Bromfield & Clark Kent
      Quand la foudre frappe

  La nuit tombait paisiblement sur Métropolis, et le bouclage de l'édition du lendemain tardait à être finalisée, la faute à quelques tribunes vides. Par conséquent, Perry avait décidé de retenir quelques journalistes pour boucler le numéro, et j'en faisais parti. Enfin, je considérais plus ma présence au Daily Planet ce soir comme une punition pour ma persévérance avec Batman que comme une indication quand à mon utilité en ce lieu ce soir. Malgré l'article que je lui avais offert quelques jours plus tôt, à savoir une interview exclusive de Bruce Wayne qui n'allait d'ailleurs pas tarder à être publié dans une prochaine édition du quotidien de Métropolis, Perry m'avait demandé de rester au Planet pour peaufiner un peu plus mon papier, qu'il soit le meilleur possible une fois qu'il paraîtrait dans une édition prochaine. J'étais assez content de cet article, même si la conversation n'avait pas été des plus légères, parfois tendue à certains moments lors de l'évocation de certains sujets dits sensibles. Néanmoins, j'étais ressorti de la Tour Wayne avec ce que je voulais.

Normalement, j'aurai dû passer ma soirée chez moi, à éviter de penser à la journée que je venais de passer ou aux petits tracas du quotidien, ou bien à intervenir en tant que Superman, la cape rouge flottant derrière mon dos. Quoi que ces derniers temps, je n'intervenais plus beaucoup. Il semblait que de me dévoiler au monde entier avait permis à d'autres justiciers, les jeunes comme les moins jeunes, de sortir du placard pour faire ce que j'avais montré au monde entier pendant mon combat contre Zod, la destruction de la moitié de la ville en moins. Je me voulais donc plus prudent à chaque fois que j'intervenais. Et ce soir, cela n'allait pas déroger à la règle. Alors que je prenais une petite pause en allant dans la kitchenette de la rédaction pour manger un petit quelque chose, je levais la tête vers la télévision, qui était connectée aux médias du monde entier. Dans les informations, il était annoncé qu'il y avait un violent tremblement de terre dans un pays d'Amérique du Sud, et sur le toit de certaines maisons, il y avait le symbole de ma famille, le symbole des El qui y était marqué à la craie blanche. Je me devais d'intervenir, mais je ne pouvais pas partir comme ça.

En retournant à la rédaction, je donnais le papier à un photographe du Planet, lui disant que j'avais modifié ce qu'il fallait et qu'il n'avait qu'à le donner à Perry, car je décidais de rentrer. J'avais fait plus d'heures que prévues, et je doutais que mon chef me paye les heures supplémentaires que j'enchaînais depuis un petit moment déjà. Une fois le papier donné et le message transmit, je quittais le bâtiment...par le toit. En effet, je n'avais pas le temps de rentrer tranquillement pour me changer, non. J'avais disposé mon costume dans un sac que je cachais dans un endroit tenu secret. Une fois sur le toit, ce n'était qu'une formalité. Je décollais dans les airs, les deux poings en avant pour arriver plusieurs minutes plus tard sur les lieux de la catastrophe. Il ne restait plus qu'une famille sur un toit, dont une femme qui tendait le bras vers moi, illuminée par le soleil se couchant dans mon dos. Je me dirigeais doucement dans sa direction.

« Ne vous inquiétez pas, je vais vous sortir de là. »

Une fois à sa hauteur, elle se jeta dans mes bras sans que j'ai le temps de la rassurer un peu plus. Les autres membres de sa famille avaient dû être hélitreuillés un peu plus loin, et la femme m'indiqua de l'index la direction dans laquelle les hélicoptères s'étaient dirigés après avoir transporté les sinistrés. Je m'y dirigeais à mon tour, puis découvrais un endroit où se trouvaient les réfugiés. Immédiatement, les tête se levaient vers moi, certains avec des grands sourires en me pointant du doigt, d'autres commençant des messes basses avec un regard qui en disait long sur ce qu'ils pouvaient penser de moi. Je préférais ignorer tout ça et me concentrer sur ma tâche. La dame, une fois au sol, me remercia dans sa langue natale alors que je reçu un projectile, une bouteille en verre qui éclata au contact de mon visage. Je tournais la tête dans la direction du jet, regardant un groupe d'individus qui semblait me provoquer. Je n'étais pas là pour ça, je voulais juste sauver le maximum d'innocents. Et pour ça, il fallait que je reparte voir s'il restait encore du monde sur les toits, et bien que je ne voulais pas envisager cette hypothèse, dans les maisons.

Mais comme d'habitude, rien ne se passerait comme je l'aurais voulu, c'est à dire dans le calme, et sans perturbateurs pour me mettre des bâtons dans les roues...


 

     
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captain marvel II


M. Willow Bromfield
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MessageSujet: Re: Quand la foudre frappe [Mary]   Quand la foudre frappe [Mary] Icon_minitimeSam 8 Aoû - 4:39













Un jour, j'ai regardé un film qui m'a fait beaucoup réfléchir sur une question philosophique. Je me suis demandée ce qu'était la peur, ce sentiment de quiétude, d'angoisse, ou parfois d'effroi et j'en passe. Ce film d'une certaine manière m'a donné une réponse claire et simple ; « la peur n'existe pas, elle n'est que l'illusion de notre subconscient, le fruit d'une simple chimère. Même si le danger est bel et bien réelle, la peur est un choix ! » Mais même si, j'ai beau être physiquement invulnérable sous Shazam, je ne peux combattre mes angoisses.

Mes yeux observent l'intervention en direct de Superman en Amérique du Sud. Le flash d'information m'avait quelque peu surpris, alors que je rédigeais un rapport concernant l'enquête du tueur en série qui sévissait à Gotham City. Me voilà voir les exploits extraordinaires de cet homme qui en apparence nous ressemble, mais qui en vérité nous est de loin supérieur. Je brise le stylo entre mes mains à cette simple pensée, j'inspire profondément avant d'expirer brièvement comme pour relâcher les mauvais maux. Plus je regarde les informations, plus j'observe cet extraterrestre faire comme s'il était l'espoir de l'humanité, me fait me sentir de plus en plus mal. « Il n'est pas de ce monde, c'est un imposteur... » Oui, c'est vrai, il n'est pas de ce monde, il n'est que celui qui a causé la mort d'innombrables personnes à Metropolis. À cause de cet homme, non... Je dirais plutôt, à cause de cette vile créature, je suis hantée par des cauchemars et des souvenirs qui ne veulent guère me quitter. Mes yeux toisent l'écran en face de moi, ne prêtant à peine attention au journaliste qui filmait la scène, bien trop aveuglée par l'image de l'homme d'acier. « On dit qu'il est un dieu, mais les dieux ont toujours été cruels avec les hommes. » Il n'est peut-être pas les espoirs de l'humanité... « Il est celui venue apporter le désespoir. »          

Des larmes coulent le long de mes joues sans que moi-même je ne puisse comprendre pourquoi. « Mais que m'arrive-t-il ? » Me demandais-je alors à voix haute, ne comprenant pas mon état et mes pensées. « Il n'y a rien à comprendre mon enfant, laisse seulement la peur s'emparer de toi... » Je me retourne et je fais face à cette étrange amulette luminescente en lévitation. Sa lumière ne me laisse pas temps de me remémorer l'endroit où j'ai vu ce morceau d'artefact. Je ne pense d'ailleurs plus à rien, si ce n'est qu'à la source de mes problèmes, de mes craintes ; The Man of Steel. Je me sens comme si j'étais à la fois présente et absente, j'ai conscience de me déplacer, pourtant je n'ai pas cette impression d'être aux commandes... comme étant le spectateur de ma propre vie. Je marche, n'ayant même pas conscience que je ne suis plus dans ma chambre d'hôtel et je n'ai qu'un mot à la bouche... superman, superman, superman. Et cette voix continue à chanter dans mes oreilles, tandis que cette amulette avait pris position autour de mon coup. Puis, alors que des personnes m'observer d'un regard paniqué, l'amulette avait cessée de briller depuis longtemps. Toutefois, ce que les gens craignaient, fut cette lueur dans mes yeux, vif comme l'éclat du soleil. Et alors que mon cœur ce berce dans un océan de cauchemar, je continue à prononcer en boucle « superman », entre mes larmes devenues invisibles. « Tu peux sauver le monde, tu en as le pourvoir ! » J'ai aussi le pouvoir de détruire le monde, comme celui que je crains. « Mais qu'est-ce que te dicte ta peur ! » Ma peur ? Ma peur ! Me voilà maintenant comme submergeait par des images d'un Superman dans la violence provoque un effroi, le voyant retourner sa force pour tuer et encore tuer. « Vois-tu, ce qu'est véritablement cet imposteur ? » Je me mets à crier dans la rue, devant ces gens déjà paniqué à la vue de mes yeux.

Je crie, car en plus des images, je ressens une douleur insoutenable à la tête. « Pourquoi hésiter ? Tu sais ce que tu as à faire ! » Et malgré la présence des gens autour de moi, je prononce la formule dans un cri de rage, mon chagrin et mes craintes, devenue rage et colère. Le ciel s'assombrissant alors qu'il me frappe de son éclair, continuant à s'assombrir comme s'il était influencé par ces sentiments néfastes qui hantent présentement mon cœur. Prenant une pulsion dans mes jambes, je décolle à la vitesse du son, formant au passage un cratère de cinq mètres de diamètre. Je ne prends que quelques secondes pour atteindre la stratosphère, puis la frontière entre l'atmosphère et l'espace du vide cosmique. Je me laisse alors retomber, entraînée par la gravité terrestre, mais en direction d'une des régions de l'Amérique du Sud. Mon arrivée ne fut pas remarquée par ce démon qui se plaît à incarner le rôle de l'ange, qui s'amuse à tromper les brebis que nous sommes à ses yeux. « Montre-lui, si tu es véritablement une brebis. » C'est son dos qu'il m'expose, s'acharnant à la tâche de sauver ceux qui le haïssent pour que demain ils le glorifient. Bientôt, les regards se lèvent à nouveau vers le ciel, mais ce n'est plus superman qu'ils observent, leur regard se portant plus loin et plus haut... « Regarde-les ! » Ce que je fais... « Vois-tu ? » Ce que je ne devrais point voir... « Ils te voient, comme tu vis jadis pour la première fois ce vaisseau au-dessus de Metropolis. » Alors, ils me craignent sans savoir qui je suis. « Ils sont déjà sous l'emprise de l'imposteur, délivre-les... Tue l'imposteur, tue l'emprise qui délivrera l'humanité. » Je me laisse tomber, jusqu'à atterrir sur le sol violemment, celui-ci se dérobe légèrement sous mes pieds. Juste à côté, un homme est piégé sous la façade d'une bâtisse qui s'est écroulée, mais je ne l'entends pas, je ne le vois pas, car je vois et je n'entends que les ricanements du démon en face de moi.      

« Imposteur, démon ! » Dis-je alors que ma voix est froide et basse, bien que je m'adresse directement à Superman lui-même. « Retourne d'où tu viens Imposteur ! » Mon cœur bat dans ma poitrine à une vitesse presque anormale, même sous mon état de Shazam. « Pars et je t'épargne, créature du mal ! »


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MessageSujet: Re: Quand la foudre frappe [Mary]   Quand la foudre frappe [Mary] Icon_minitimeSam 8 Aoû - 18:38



     

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      Quand la foudre frappe

  Je comprenais l'inquiétude des humains, mais ils ne devaient pas en avoir. J'étais là pour faire le bien, pour faire en sorte que leur vie soit meilleure, et non pas pour éradiquer la race humaine. Si vraiment cela avait été le cas, je n'aurais jamais repoussé le Général Zod et ses soldats. Au contraire, j'aurais accompagné l'ancien ami de mon père biologique pour asservir toute la race humaine pour ensuite reconstruire ma défunte planète natale sur le caillou terrestre. Les humains pouvaient avoir de drôles de raisonnement par moment, ce qui ne faisait que renforcer mon sentiment de méfiance vis à vis de certains humains, pas tous. Ils n'étaient pas tous à mettre dans le même sac, ce qui était bien mieux comme ça. La femme que je venais de sauver n'avait pas prit peur lorsque j'étais descendu dans sa direction pour la sortir d'une terrible situation. En revanche, les autres, ou du moins un petit groupe pour être plus précis, n'avait pas réagit de la meilleure des manières. Disons plutôt qu'ils avaient préféré une approche plutôt peu intelligente alors qu'ils n'étaient pas en mesure de faire quoi que ce soit.

Cette bouteille envoyée contre mon visage était le signe de mécontents, le signe que ces personnes ne cautionnaient pas mes actions hors de mes frontières. Et ils n'étaient pas les seuls. Combien de fois avais-je dû faire face aux forces armées d'un pays parce que j'avais osé violer leur périmètre aérien ? Je me souvenais surtout d'une fois, sur l'Île de Borada, peut être l'expérience la plus amère que j'ai eu à avoir depuis mes débuts officiels en tant que Superman, soit après le conflit contre Zod. J'intervenais là-bas pour sauver la population d'une tsunami qui allait, en plus de ravager leur île, mettre à mal toute la population. Je les voyais tous réfugiés sur les toits de leur maison et j'avais réussi à sauver la situation. C'est alors qu'en me posant au sol, je fis face au dirigeant de l'île, le Général Samsa. Il m'avait demandé de quitter son île immédiatement, sous peine de tuer un habitant supplémentaire pour chaque minute que je passais sur ses terres. En guise de preuve, il avait lâché au sol un bras coupé. Je savais qu'il ne rigolait pas, et j'avais dû partir, ne voulant pas mettre encore plus en péril les habitants par ma présence.

Plus tard, en cherchant des informations sur la situation de l'île, je découvrais qu'en faite, ce Général dirigeait sa population tel un despote, un dictateur supprimant quiconque osait se dresser contre le régime de terreur qu'il avait mit en place. Il punissait et tuait sa propre population...une honte, surtout dans des temps aussi modernes. Si je ne pouvais pas faire grand chose pour le moment, je réfléchissais à un moyen de faire en sorte que la population se rebelle une bonne fois pour toute contre le tyran qui lui sert de dirigeant. Je retournais donc sur les lieux de la catastrophe afin de vérifier s'il restait ou non des personnes qui avaient besoin de mon aide. C'est alors qu'une personne fit son apparition dans le ciel, une jeune femme dans une combinaison très étrange. Et son arrivée causa plus de dégâts qu'autre chose. Je serrais la mâchoire devant ce spectacle navrant, car un cri se fit entendre un peu plus loin. Un homme était coincé sous une bâtisse qui avait cédé sous le choc de l'arrivée de la jeune femme. Je tournais la tête dans sa direction, le visage sévère.

Les paroles de la nouvelle arrivée me heurtèrent immédiatement. J'avais donc à faire à une personne qui m'en voulait, et visiblement, elle avait de quoi se battre contre moi. Je remarquais un logo en forme d'éclair sur son costume. Je relevais les yeux pour les poser sur elle.

« Je ne suis pas là pour me battre ou quoi que ce soit. Il y a une population ici qui a besoin d'aide. Alors soit tu t'en vas et me laisse terminer, soit tu contribues à aider. Mais dans les deux cas, je te conseille de faire le bon choix. »

Je tournais le dos à la jeune femme, lévitant au-dessus du sol pour rejoindre l'endroit où se trouvait la personne sinistrée. J'utilisais ma vision à rayons X pour regarder où elle se trouvait exactement, afin de ne pas faire de bêtise et mettre sa vie en danger. Je ne savais pas si la jeune femme aux intentions hostiles était encore présente, mais valait mieux pour elle que ses intentions changent tout de suite et qu'elle vienne m'aider à sauver la vie de cette personne. Elle ne me rejoignait pas ? Tant pis pour elle. J'arrivais à détruite une partie du mûr, intervenant ensuite rapidement dans la maison pour y extraire l'individu, m'envolant ensuite dans les airs pour aller la déposer un peu plus loin. Je me dirigeais ensuite vers une personne de l'armée pour lui parler.

« Vous devriez évacuer les lieux rapidement, je crains qu'il n'y ait du grabuge dans les prochaines minutes. »


 

     
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MessageSujet: Re: Quand la foudre frappe [Mary]   Quand la foudre frappe [Mary] Icon_minitimeDim 9 Aoû - 3:55













La rage grandit, dévorant chaque parcelle de ma raison. Les idées sont de moins en moins claires, tandis qu'un seul visage prend une place dans mon esprit, dans mes pensées. Des cernes se dessinent sous mes yeux, je pouvais le voir dans la vitre brisée juste à côté de moi, pourtant je n'ai aucun problème de sommeil, en plus dû fait que je ne pouvais sentir la fatigue. Je fais face à cet imposteur, et parce que je fais preuve de compassion envers ses actions, je lui propose de retourner d'où il vient, sur son monde ou je ne sais où, afin qu'il foute le camp de notre planète, une bonne fois pour toute. On ne veut pas de lui, il n'est qu'un intrus qui se prend pour le sauveur de l'humanité. Quelle arrogance... Et c'est avec cette même arrogance qu'il me répond, me répondant qu'il était ici pour une population qui ne lui a rien demandé, me conseillant en plus de faire le bon choix. Comment ose-t-il prétendre ce qui est bon ou mauvais ?

« Il ne respecte pas les règles, il se croit au-dessus de tout, il se prend pour Dieu ! » Alors, je vais montrer à Dieu, qu'il n'y a qu'un seul et véritable dieu, et on le nomme la Mort. Je marche, mes yeux brillants de plus belle d'une lueur ayant pris une couleur écarlate. Je marche en direction de l'homme d'acier, silencieusement, le laissant encourager ses fidèles à prendre la fuite. « Ceux qui le servent, devront en payer le prix... » Parce qu'ils ont trahi l'humanité, parce qu'ils idolâtrent un être qui n'est même pas divin, un simple envahisseur, un imposteur. « La punition doit être une sentence exemplaire, réserves-les le même sort qu'à l'imposteur. » Je pose ma main sur mon front avant de hurler de douleur, dans mon solitaire malheur. « Tue-les, tue-les tous ou abandonne-toi à moi, tout simplement ? » La douleur est plus intense, plus vive... Un océan noir m'embrume l'esprit et je suis comme entraînée vers les abysses sans que je puisse y faire quoi que ce soit.      

Observant la lumière depuis le fond, j'y trouve étrangement une beauté à sa lueur, me sentant en paix avec moi-même. « C'est ça, oublie la peur et laisse-toi entraîner vers le fond... » Je me vois marcher toujours dans la direction de Superman, mais cette fois je ne suis plus maître de rien, ne ressentant même plus le vent sur ma peau. Je ne suis désormais que cette spectatrice à l'intérieur de son propre corps. Voilà que je change de direction, j'aimerais dire quelque chose, mais rien ne sort de ma bouche, ne ressentant même plus la sensation d'avoir une bouche. Je marche en direction de cette semi-remorque, puis je me vois soulever ce véhicule toujours tracté à sa remorque, en lévitant moi-même. Et malgré les gens autour de Superman, malgré que cela ne me ressemble pas, je me vois envoyer le poids lourd en direction de l'extraterrestre. Des mots sortent de ma bouche, mais ce n'est plus moi qui le prononce. « Quitte cette planète ou meurs ! »


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