La mère d'Ashéra était une agente du gouvernement Canadien qui a fait partie d'un projet de recherche sur le paramilitaire en conjoint avec les forces américaine, malheureusement, c’était un leure, mise en place par la ligue des ombres, ou plutôt par Dusan al Ghul, qui voulait expérimenter sur l’eau du puis de Lazarus sur les fœtus pour montrer à son père qu’il pouvait être utile et faire une nouvelle génération de serviteur.

Mais quand après une séance la mère d’Ashes s'est rendu compte qu'elle avait perdu plusieurs mois de vie, et que personne ne semblait s'en soucié, elle a fait ses propres recherches dans le projet et découvert la vérité. Tous les cobayes étaient des femmes et le but n'était pas de les rendre Super, mais de faire des enfants soldats que la ligue pourrais formé. Toute les femmes avaient soigneusement été sélectionné dans l’armée pour leur code génétique et combiné avec celui d’un soldat de la ligue pour de meilleur résultat. Elle-même avait été inséminé par Dusan lui-même. Horrifié, elle décida de détruire le projet en mettant un virus dans le programme et les fichiers, puis elle s'enfuit, se sachant pour le moment la seule enceinte. Elle mit au monde l'enfant seule, dans une clinique clandestine de Gotham, avant de fuir avec l’enfant pour ne pas être retrouvé.

Ashéra, quant à elle, ignore tout de son identité ou de celle de ses parents, sinon son prénom. D'aussi loin qu'elle se souvienne, elle a toujours été seule. On lui a raconté qu'elle aurait été prise en train de volé de la nourriture et amener dans un orphelinat de Bludhaven un 31 janvier alors qu'elle avait cinq ans. Elle ne savait que dire son âge, son nom et sa date de naissance. Et elle avait toujours eu ses yeux trop perçants pour son âge, sachant toujours quoi dire pour blesser, talent qui s'est affiné avec l'âge. Durant les premières années, elle a toujours espéré après sa mère, un souvenir flou d'une femme douce, mais ferme, qui s'estompe avec les années, tuant petit à petit le peu d'espoir que ses yeux lui laissent voir sur le monde.

Un don qui la mise à part dès le premier jour. Toujours capable de voir les faiblesses de ce qui l'entoure, que ce soit des gens ou des objets, elle se renferme de plus en plus sur elle-même, ce jusqu'à ses 7 ans. Cette année-là, elle fuit un groupe de jeune du Lycée qui s'en est pris à un autre enfant du primaire qu'elle a défendu jusque dans une ruelle où elle se retrouve piégée. Comme elle est dos au mur, un homme dans la jeune trentaine sort d'un local adjacent à la ruelle et fait fuir ceux qui la frappaient. Il prend le temps de la soigner puis lui offre de lui enseigner à se défendre en échange d'un peu d'aide pour tenir son dojo. C'est ainsi qu'il devient son mentor. Sans rien d'autre qu'un peu de temps pour balayer elle apprend l'aïkido.

Malheureusement, ce petit bonheur ne durera pas. Les employés de l'orphelinat se succèdent les uns après les autres et aucun n'est là par bonté d'âme. Alors qu'elle a 8 ans, un jeune homme travaillant pour la pègre commence à recruter les enfants qui semble doués pour voler, ceux qui refuse se voit couper leur ration, déranger durant leurs travaux, disparaître leurs effets personnels, abîmer leurs vêtements. Asheyra est rapidement repéré et enrôlé de force pour faire le guet sur les bâtiments du fait de son agilité naturelle, puis former petit à petit à voler malgré le dégoût qu'elle a pour ses méthodes.

Au début, elle utilisait une partie de l'argent acquis pour donner à l’autre enfant qui manquait d'amour et de tout autant qu'elle, mais au lieu de former une famille comme elle en avait secrètement rêvé, le tout n'a fait que la rendre encore plus solitaire, les autres comptant de plus en plus sur elle. De plus, ses pouvoirs s'affinant, elle devint de plus en plus cynique, ses dons tuant son côté altruiste. Car comment avoir envie d'aider les autres quand on peut voir leurs faiblesses, leurs failles, leur manquements et leur mauvais côtés avant même de les connaître?

Elle reprit un peu plus foi en l’humanité et espoir pour le futur quand elle fit la connaissance de son sensei. Vers ses 10 ans, elle se fit prendre seule par des jeunes d’un gang rivale et battre dans la ruelle derrière un Dojo. Entendant la bataille, le propriétaire sortie, faisant s’enfuir les agresseures de la jeune fille. Il l’amena dans l’infirmerie de son dojo pour soigner ses blessures, tout en lui offrant une porte de sortie, une opportunité. En échange de quelques heures de nettoyages par semaine, il lui permettrait d’assister à ses cours pour apprendre à se défendre. Il ne lui enseigna pas que les mouvement de l’aïkido, mais aussi son code d'honneur, faisant de son mieux pour l'aider, mais malgré ses demandes répétées, il ne peut l'adopter, n'ayant ni l'argent pour soudoyer le système, ni la stabilité demander pour une adoption, il ne peut que la voir dépérir petit à petit, devenant de plus en plus en conflit avec elle-même, entre ce code, son don et ce qu'on la forçait à faire.

À 13 ans, on lui demande avec d'autres enfants d'attaquer un gang rival, mais elle réussit à convaincre les autres enfants de l'orphelinat de ne pas y aller et lorsque le moment se présente, ils quittent les lieux, laissant ceux qui les ont persécutés et forcés à la criminalité se faire tuer par l’autre gang. Elle en aura d’ailleurs des cauchemars durant un certain temps, apaisé seulement par son mentor qui lui dit qu'elle aura fait la chose à faire, qu'elle aura au moins réussis à sauver les autres de son orphelinat.

Malheureusement, il y as 6 mois, son sensei s’est fait piégé par un inspecteur à la solde d'un gang qui veut voir disparaître cette homme qui donne un but honorable aux adolescents et leur enseigne à être des adultes productif. Asheyra, qui travaille maintenant officiellement pour le dojo en tant que Sempai pour les classes inférieures et les enfants, est présente lorsque l'officier arrive. En rangeant l’infirmerie, elle entend l'altercation, puis les coups que son mentor reçoit. Elle ne doit qu'à la surprise d’être rester dans le bureau lorsqu'elle as entrouvert la porte pour découvrir son mentor au sol, frapper par le policier, puis emmener sans qu'il résiste. Clouer dans l'embrasure de la porte par la peur qui anime le regard de son mentor, elle n’arrive à réfléchir, à bouger que bien plus tard, resté seule dans le dojo. Elle as tout vu, tout entendu, lorsque le policier à dit à celui qui est comme un père pour elle qu’il aurrait dû fermer son établissement au lieu de continuer à leur voler leur jeunes.

Durant les six dernier mois, elle as tenté de continuer sa vie, mais n’a réussis qu’à être l'ombre d'elle-même. Son rêve de devenir un jour policière pour combattre le crime et aider les gens de Gotham est fracturé, briser, corrompu. Puis, elle apprend dans le journal que son sensei a été jugé coupable de pédophilie et qu’il se serait pendue dans sa cellule. Ce qui tue le reste de ses espoirs et de ses rêves. Dans la même page, elle voit un autre article sur le Chevalier Noir de gotham et décide de jeter aux orties son ancien rêve. Autrefois elle croyait que ses justiciers qui peuplait la ville n'étaient qu'en manque de sensation et de reconnaissance, elle comprend as cet instant qu'il sont tout ce qui empêche la ville de sombrer, mais aussi qu’il sont faible, puisque malgré les années, Gotham est toujours corrompu. Elle décide de faire justice elle-même, contre tout les policiers corrompu et de se donner une chance d'étudier par la même occasion

Elle as aussi une grande jalousie de Bruce Wayne et ses protégé, car depuis qu'elle a entendu la "pauvre" histoire de Bruce Wayne, elle rêve de trouver des information compromettante sur lui, plus que ses légendaire fêtes et soirée de beuverie, de montrer à la face du monde l'homme qu'il doit être. Elle éprouve une très vive jalousie pour le milliardaire qui est aussi orphelin qu'elle, mais qui sait qui il est, d'où il vient et qui en plus est riche, mais plus encore pour ses protégé qui ont eu la chance d'avoir un riche patron alors qu'elle va vivre toute sa vie dans la fange et les taudis sans espoir d'en sortir.

Elle as recommence à s’entrainer d’arrache pier, et aussi à voler, mais non plus des objet sans importance, mais des renseignements, des documents et des preuves de la corruption de la police, qu'elle vend ensuite au journaliste qui dénonce se genre de chose. Ce n'est pas très morale, mais c'est ainsi qu'elle entend se donner un avenir et combattre la corruption...