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 Welcome back, Bat! [Babsy]

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batwoman


Kate Kane
Kate Kane

Messages : 76
Âge : 29 ans
Pseudo : Batwoman
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Statut Matrimonial : Je ne voyais plus aucun intérêt à laisser mon coeur s'entrouvrir... ou s'offrir à quelqu'un... Pourtant, j'ai l'impression que tout mon être glisse irrémédiablement vers toi...
Métier : Héritière de la fortune des Kane, aucun emploi officiel reconnu, justicière à temps plein 'déchue' par sa 'famille', recueillie par les Amazones.
Dollars : 42












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MessageSujet: Welcome back, Bat! [Babsy]   Welcome back, Bat! [Babsy] Icon_minitimeLun 5 Oct - 14:46














DESCRIPTION DU RP »
Ayant pris sa décision de quitter Themyscira, Kate en revient aux fondamentaux en s'installant de nouveau à Gotham City. Laissant ouvertement des pistes pour que les membres de la Bat-Family découvre son retour, c'est sans surprise qu'elle accueille l'un de ses membres... Une occasion de repartir d'un bon pied?















Un soupir de soulagement. Lorsque je claque la porte de ce studio tout fraichement acquis, je ne peux m’empêcher de laisser mes jambes se plier, me laissant ainsi tomber sur le sol. La journée n’avait pas été des plus reposantes: effectuer un retrait d’économies précieusement mises de côté, bien que la fortune familiale me comblait de tout besoin. Trouver un logement de fortune, histoire de ne pas revenir à Gotham en devant dormir sous les ponts. Prendre mes dispositions pour récupérer certains ‘matériels’ de ma double vie. Et, enfin, pouvoir me complaire dans ce studio nouvellement acquis où je pourrais retrouver mes marques. En soi, toutes ces démarches avaient nécessitées une forme de course, sans que ça n’en soit réellement une non plus. Pourtant, ce n’est pas cela qui m’avait le plus épuisé. Étrangement, la fatigue qui me gagna en ce début de soirée était d’avantage celle de la ville que de mes propres actions. Je passai, en un claquement de doigt, en un paradis terrestre de verdure, d’eau, de splendeur et d’apaisement à l’enfer d’une jungle urbaine ne cessant jamais son rythme incessant et virulent. Le bruit. Les véhicules. La foule. Cette sensation d’enfermement une fois que l’on se confronte à des gratte-ciels des plus oppressants. Lutter contre les vertiges que cela offrait, et passer outre de la douleur crânienne infligée par ce maelstrom sonore insupportable. Oui, je me souvenirs parfaitement de cette ville où j’avais vécu le plus clair de mon temps. Mais son accueil m’agressait d’une manière que je ne l’aurais pas soupçonné. Quelques jours seront sans nul doute nécessaires afin que je puisse m’acclimater à nouveau. Mais trêve de fainéantise Kate, tu as encore du pain sur la planche avant de pouvoir profiter d’une véritable nuit de sommeil !

Reprenant courage, je me redressai finalement et observai la configuration de ce petit meublé. L’aménagement pouvait paraître spartiate, néanmoins, je n’avais pas besoin de plus pour le moment. Un canapé. Une cuisine équipée. Un frigo. Un lit. Une salle de bain. Le minimum vital. Je voyais léger après tout, et les cartons que je transportais derrière moi s’avéraient loin d’être nombreux. Méthodiquement, je procédai au déballage de mes affaires, sans trop m’y attarder. Il s’agissait principalement de vêtements et autres ustensiles de la vie courante. Chaque chose trouva sa place rapidement… Mais l’installation pris toutefois plus de temps lorsque je me retrouvai face à quelques objets de décoration… Et principalement des photos de mon ‘passé’. La première m’arracha directement un lourd pincement au cœur. Maggie et moi. Nous étions dans notre ancien appartement, sur le balcon, profitant du soleil. Je ne me souviens plus de qui avait pris cette photo… Mais je me souvenais exactement de chaque évènement de cette journée placée sous le signe du calme, de la simplicité et de l’amour. Oui, repenser à Maggie ne me laissait aucunement insensible. Elle avait eu une place très importante dans mon cœur… Et je l’avais sacrifié au nom de ce que je pensais être une noble ‘croisade’. S’en suivit alors une autre photo, de moi et ma cousine Betty, alias Flamebird, avant son ‘accident’. Une photo prise dans le jardin de l’immense villa de mon père et de son épouse. C’était l’époque où je venais de prendre officiellement le rôle de Batwoman. Nous venions à peine de nous retrouver. Tout nous semblait si facile à l’époque. On avait l’air tellement insouciante, et ce même si j’entamais mes responsabilités de justicière… Et puis, je n’allais pas y échapper à cette photo… L’ultime photo dont je savais la présence et que je redoutais néanmoins de voir : Elizabeth et moi, lors de notre séjour à Bruxelles, près de ce marchand de gaufres où nous nous étions arrêtées avec maman, quelques heures avant notre enlèvement. Ce fut le coup fatal pour m’arracher une larme furtive, discrète et silencieuse avant que je ne reprenne la petite installation de mes affaires. Après tout, je savais que ce retour ne se ferait pas sans souvenirs douloureux.

« Je me demandais quand est-ce que l’un d’entre vous se montrerait… »

Il était près de minuit lorsque je débarrassai le petit plateau de chinois que je m’étais fait livré. Prudence implicite, affinement de ma perception, prévisibilité d’une présence ? Sans doute était-ce un mélange des trois. Mon intuition m’avait poussé à laisser l’une des fenêtres ouvertes. Et malgré toute la discrétion dont savait faire preuve les chauves-souris de Gotham, je pouvais ressentir cette présence comme si mon corps vibrait, s’agitait à l’approche de l’un des membres de cette ancienne ‘famille’ dont je faisais autrefois partie. Je me retournai donc vers la fenêtre ouverte du salon, affichant un bref et très fin sourire sur le coin de mes lèvres en reconnaissant l’identité de mon visiteur nocturne.

« Et au final, c’est vrai que c’est plus logique que ce soit toi… »

Celle que certains de nos adversaires avaient baptisé Bat-Nana, Batgirl. Barbara. Ma rouquine junior. Je pense pouvoir dire que, dans un certain sens, j’étais soulagée et contente que ce soit elle. Sans doute parce que nous n’avions jamais eu de véritables animosités toutes les deux. Et puis, surement parce que je ne me sentais pas d’attaque, là, ce soir, pour confronter un Bruce sévère ou même un Dick accusateur.

« Vas-y, rentre. Je te sers quelque chose à boire ? »

Demandais-je, ne me formalisant pas d’avantage de sa présence, et ne manifestant aucun geste propre à l’effusion de sentiments. Ces dix derniers mois m’avaient changé physiquement et mentalement parlant. Mon corps s’étaient raffermis. Mes muscles s’étaient d’avantage dessinés. Le simple marcel que je portais en offrait d'ailleurs une vue assez pertinente. Et mon mental avait gagné en stabilité et en force. Cependant, ce n’est pas pour autant que j’allais devenir mielleuse ou hyper câline car je revoyais une ancienne ‘amie’, si l’on peut dire. J’attrapai une bière, vieux réflexe militaire, laissant la porte du frigo entrouverte, attendant sa réponse.



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La chevalière de Gotham (barbie)


Barbara Gordon
Barbara Gordon

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MessageSujet: Re: Welcome back, Bat! [Babsy]   Welcome back, Bat! [Babsy] Icon_minitimeMer 18 Nov - 10:42













C'était une fin de journée que l'on pouvait qualifier d'habituelle pour la demoiselle du nom de Barbara. Comme à chaque fois, deux heures avant la fermeture, la demoiselle s'occupait de ranger les diverses étagères de manière à remettre chaque chose à sa place. Si pour certains, la notion de rangement était acquise, pour les personnes ne venant qu'occasionnellement, ça laissait encore à désirer. Disons simplement ; que la plupart du temps, les gens se fichaient de remettre les livres à leur place, ce qui avait d'ailleurs le don d'agacer Barbara. Si elle connaissait les moindres recoins de cette bibliothèque, elle détestait être contrainte de devoir ranger ce que les autres n'avaient pas eu la patience ou la foi de ranger. De plus la bibliothèque municipale de Gotham était un bâtiment important, et il y avait bien des centaines et des centaines de livre sur ces étagères déjà comblées. Heureusement pour elle ; elle connaissait chaque rayon par cœur, lui permettant alors de ranger ceci en un laps de temps plus court que n'importe quel nouveau employés de la bibliothèque.

Lorsqu'enfin, la rouquine du nom de Barbara eu fini de ranger ces satanés rayons, elle se rendit de nouveau derrière les bureaux, souriant aux deux femmes assises à ses côtés qui étaient largement plus âgée qu'elle. Fixant l'heure s'affichant au coin de son ordinateur, elle soupirait. Les trente minutes qui restaient seraient probablement les plus longue de la journée. Elle rêvait de pouvoir plier bagage et rentrer chez elle, se reposer un peu avant de brancher sa radio et d'enfiler son costume afin de combattre le crime qui rôdait dans les rues de la ville. Attrapant son téléphone, elle se levait afin de se rendre dans la réserve de la bibliothèque qui faisait également office de salle de repos et/où de dépotoir quand on ne savait pas où ranger les nouveautés. S'emparant d'une tasse en porcelaine, elle mit celle-ci sur les petites grilles de la machine et pressait le bouton qui commençait alors à verser dans cet ustensile un liquide brun dont elle imaginait déjà le goût sur ses lèvres. Attendant, perdue dans ses pensées, elle restait dans cette position pendant plusieurs longues minutes lorsque la vibration de son téléphone fit réagir celle-ci. Remarquant que sa tasse était pleine – depuis probablement plusieurs minutes – elle s'empressait de l'attraper pour finalement prendre son téléphone et décrocher ; sans même jeter un coup d'oeil au nom ou numéro qui s'affichait sur l'écran du smartphone. Mais lorsque la voix si connue de son petit ami raisonnait dans l'appareil, elle ne pu s'empêcher de sourire. Et c'est ainsi qu'une discussion débutait, tandis qu'elle faisait venir la tasse encore fumante à ses lèvres pour laisser le liquide brun descendre dans sa gorge.
Arrivant alors devant son bureau, tout en gardant un volume sonore bats pour ne pas déranger les alentours, elle s'enthousiasmait déjà à l'idée de passer une soirée en tête à tête chez celui qui faisait battre son cœur. Cependant, lorsqu'elle bougeait la souris et vit une alerte sur son ordinateur, elle regardait autour d'elle afin de s'assurer que personne ne veillait par dessus son épaule, puis, elle commençait à regarder un peu plus attentivement. Manquant d'ailleurs de renverser sa tasse sous la surprise, elle restait silencieuse pendant que Dick s'amusait à énumérer le programme de la soirée qu'il avait prévu de manière plus ou moins imprévue il n'y a quelques minutes. « Je crains qu'au final ça ne soit pas réellement possible. » disait-elle. « Le devoir l'oblige. » se contentait-elle de dire, de manière à se faire comprendre par l'homme à l'autre bout du fil, tandis qu'un regard curieux venant des deux bonnes femmes se posait sur la rousse. « Mais dés que j'ai réglé cette petite histoire, je viendrais passer le reste de la nuit avec toi. Et si tu dors, alors je me lèverais tôt pour te préparer un bon petit déjeuné. » dit-elle tandis qu'elle entendait pertinemment la réticence de son petit ami à l'autre bout du fil. Elle pouvait comprendre. Ils n'avaient pas de vie facile. Quand lui ne travaillait pas de nuit, il était souvent occupé à combattre le crime de Blüdhaven, et quand ça n'était pas le cas, le devoir appelait à la rousse à Gotham. Ils avaient beau adorer cette vie, il n'empêche que la crainte d'être éloigné l'un de l'autre se faisait ressentir. « Excuse moi. Je t'aime. » disait-elle tandis qu'il lui répondit par la même formule et qu'ils mettaient tous les deux fins à la discussion, le cœur assez lourd.

Elle était ainsi là, sur le toit de l'immeuble en face de celui qu'elle visait. Barbara savait qu'elle devait y aller, mais l'appréhension de ces longs mois loin de la rousse qu'elle allait voir créait une certaine appréhension. Elle savait, comme tous, ce qui s'était passé et les raisons pour lesquelles Kate avait été plus ou moins « banni » de cette famille qu'ils composaient tous. Et la rousse n'avait jamais prononcée un seul jugement dessus, simplement car elle estimait que ce qui avait poussée Kate à commettre les actes qu'elle avait commit ne l'a regardait en rien. Elle avait ses propres raisons, et sauf si elle se montrait désireuse d'en parler à Barbara, la dîtes Gordon ne l'obligerait en rien à le faire.
Soufflant légèrement pour se donner le courage de faire des retrouvailles, elle finie par planer jusqu'à l'immeuble en face d'elle, et c'est dans une discrétion sans faille qu'elle se glissait dans ce petit appartement. Certe, personne n'aurait pu sentir la présence de la demoiselle, exceptés les personnes connaissant elles même le fonctionnement des justiciers de cette ville. Ils avaient tous eu l'occasion de travailler ensemble, et si ils avaient leurs habitudes, tous savaient comment ils agissaient. Et tous savait que si l'on portait le costume de la chauve-souris, alors on choisissait d'épouser l'obscurité, la discrétion la plus extrême. C'est en parti pour ça que ça n'étonnait guère la demoiselle de voir que Kate avait sentie sa présence. « J'avoue avoir placés les endroits que tu serais susceptible de visiter sous surveillance. » renchérit la rousse. Voila pourquoi elle était probablement la première à être au courant et qu'elle n'avait, évidemment pas prévenue son petit ami des réelles raisons de son absence. Elle le ferait probablement, mais plus tard. « Non merci. » renchérit-elle finalement face à la proposition d'une boisson. Avançant finalement de quelques pas, elle retirait son masque pour regarder directement son aînée et elle demandait, simplement bien qu'il y avait toute la curiosité du monde dans sa voix : « Ca fait longtemps que tu es de retour ? »




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